Saluts et applaudissements

Saluts et applaudissements

« Depuis sa sortie du Conservatoire, Victor, la quarantaine, se bat chaque jour pour exercer son métier d’acteur. Mais à la place du « Roi Lear », du « Misanthrope » ou du « Prince Mychkine », ce sont des petits rôles, des voix off de documentaire sur la vie des abeilles, des castings passés la peur au ventre, parfois même des Pères Noël, qu’il enchaîne en espérant faire la rencontre qui lui permettra d’accéder à la « Lumière » promise à ses débuts. Pourtant Victor y croit encore. Son envie est intacte ! Dans sa loge, avec pour seule compagnie son visage qui lui sourit dans le miroir, il attend d’aller jouer son unique réplique… »

Par sa férocité qui va jusqu’à provoquer le rire, ce récit jette une lumière crue – et pourtant pleine d’amour – sur cette étrange profession qui nous fascine tant. Si, après avoir lu ce livre, vous voulez toujours rester ou devenir acteur, c’est que vous avez la vocation !

Brèves de métro 2

Brèves de métro 2

« Tout a été annulé ! On a jamais vu ça, même pendant la guerre. C’est mon arrière-grand-père qui me l’a dit, 101 ans ! Oui, oui, le Covid… »

« 18 heures avec un S ou pas de S à la fin ?
– Le temps, c’est des secondes, des minutes, des heures. (…) Tu vois, tout est au pluriel. Donc ça devrait être au pluriel. D’ailleurs, on devrait dire : Ils sont 18 heures. »

« Les gros, vous êtes l’avenir. Regarde, moi, avec mon ventre plat, c’est la cata pour la croissance. T’imagines si on se mettait tous au régime. Vingt pour cent de chômeurs en plus minimum. La guerre civile ! Ton gros bide, c’est la paix pour mille ans. »

 

L’acteur Thierry de Carbonnières écoute depuis des années les conversations dans le métro, les retranscrit et les publie. Après le succès d’un premier Brèves de métro du monde d’avant, voici celles du monde d’après. En dépit de la Covid-19, la (t)rame du quotidien cache tout un mystère d’humanité avec sa drôlerie, ses drames, ses émotions, avec ou sans masque. Il offre ici une sélection de perles enfilées dans l’intimité du métro parisien au gré des lignes et des stations, soulignées par le trait humoristique de France Dumas.

 

Après la Rue Blanche et le Conservatoire national, Thierry de Carbonnières joue au théâtre avec Savary, Grüber, Beaunesne… Au cinéma avec Corneau, Kieslowski, plus récemment avec Reynaud, Tellier… On le voit aussi à la télévision, notamment dans Plus belle la vie. Il publie chez Riveneuve Saluts et Applaudissements (2015), Ils me reconnaissent, Brèves de métro (2018), chez Les Cygnes, En une seconde (2019). Il vient de coécrire Un triomphe, film d’E. Courcol, avec K. Merad, sélection officielle Cannes 2020 et Prix de la meilleure comédie européenne de l’année. France Dumas est graveur et illustratrice pour la presse et l’édition, notamment chez Riveneuve où elle a illustré trois ouvrages dont le premier Brèves de métro et est l’autrice de Impressions d’ateliers. Lithographes et taille-douciers parisiens (2020).

Dessins de France Dumas

Brèves de métro

Brèves de métro

« – Si rien c’est cent mille, trois fois rien ça fait trois cent mille ! Donc ce n’est plus vraiment trois fois rien. »

« – Je dors sur une mezzanine, je suis à vingt centimètres du plafond.
– Pas facile.
– Toute la soirée, la voisine du dessus avec ses talons aiguille dans 25 m2 ! Tac, tac, tac ! Deux ans que ça dure. J’en peux plus…
»

« – Ta mère et moi, qu’est ce qu’on a mal fait ? Dis-le moi.
Dis quelque chose !
»

« – Metz to Reims is… easy… but Reims to Metz… difficile…
je veux dire… not the same… exactly.
»

 

Sensible au comique de situation comme à la force de l’improvisation du réel, l’acteur Thierry de Carbonnières écoute depuis des années les conversations dans le métro, entre deux ou trois stations. La (t)rame du quotidien est loin d’être banale : elle cache tout un mystère d’humanité avec sa drôlerie, son drame, ses émotions. L’auteur offre ici une sélection des perles enfilées au gré des lignes et des stations, avec humour et tendresse aussi.
Après la Rue Blanche puis le Conservatoire national, Thierry de Carbonnières joue au théâtre J. Savary, K. Grüber… Au cinéma, A. Corneau, K. Kieslovski… On le voit aussi à la télévision, notamment dans 40 épisodes de la série Plus belle la vie. Il publie chez Riveneuve deux romans : Saluts et Applaudissements (2015) et Ils me reconnaissent (2018). Il écrit avec E. Courcol son prochain long-métrage pour AgatFilms.
Dessins de France Dumas

Brèves de métro (saison 3) – Un wagon sans smartphone

Brèves de métro (saison 3) – Un wagon sans smartphone

OPERATION DEDICACES
JUSQU’AU 29 AVRIL  !!!!

En avant-première, Thierry de Carbonnières dédicace son dernier livre et vous l’adresse SANS FRAIS DE PORT ! 

 

 

« Moi je dis, il faut apprécier les gens quand ils sont là, parce qu’après… ben, on sait plus où ils sont. »

« Les requins, faut les taper sur le museau ! Tu les frappes avec le poing ou le plat de la main, comme tu veux. Un bon coup… pas une caresse ! »

« Putain, j’ai plus de batterie. Passe-moi ton portable pour que je regarde mon maquillage ! »

Voici déjà dix ans que l’acteur Thierry de Carbonnières mène un formidable travail anthropologique sur les conversations dans le métro parisien. Entre deux ou trois stations, il écoute ce qui se dit, le retranscrit et le publie. Après le succès des deux premiers volumes de Brèves de métro, ce troisième opus, Un wagon sans smartphone, offre une sélection de perles enfilées au gré des lignes et des stations, pleines de drôlerie, de drames et d’émotions. Le smartphone, cette étrange machine que nous consultons plus de 200 fois par jour, tient désormais une place prépondérante, en étouffant la conversation. Faudra-t-il imaginer un wagon dédié à cet art de vivre ? L’illustratrice France Dumas ajoute ici sa patte avec talent et humour.

Dessins de France Dumas

Brèves de métro (saison 3) – Un wagon sans smartphone

Brèves de métro (Saison 3). Un wagon sans smartphone

« Moi je dis, il faut apprécier les gens quand ils sont là, parce qu’après… ben, on sait plus où ils sont. »

« Les requins, faut les taper sur le museau ! Tu les frappes avec le poing ou le plat de la main, comme tu veux. Un bon coup… pas une caresse ! »

« Putain, j’ai plus de batterie. Passe-moi ton portable pour que je regarde mon maquillage ! »

Voici déjà dix ans que l’acteur Thierry de Carbonnières mène un formidable travail anthropologique sur les conversations dans le métro parisien. Entre deux ou trois stations, il écoute ce qui se dit, le retranscrit et le publie. Après le succès des deux premiers volumes de Brèves de métro, ce troisième opus, Un wagon sans smartphone, offre une sélection de perles enfilées au gré des lignes et des stations, pleines de drôlerie, de drames et d’émotions. Le smartphone, cette étrange machine que nous consultons plus de 200 fois par jour, tient désormais une place prépondérante, en étouffant la conversation. Faudra-t-il imaginer un wagon dédié à cet art de vivre ? L’illustratrice France Dumas ajoute ici sa patte avec talent et humour.

Dessins de France Dumas

Thierry de Carbonnières au 20e Salon du livre de Navarrenx

Thierry de Carbonnières au 20e Salon du livre de Navarrenx

Pour le 20e Salon du livre de Navarrenx, Thierry de Carbonnières, auteur de pas moins de quatre ouvrages chez Riveneuve, sera le parrain de l’évènement. En plus de pouvoir dédicacer vos livres avec l’écrivain, Brèves de métro tome 1 et tome 2, Ils me...
Fête de l’Humanité

Fête de l’Humanité

Des auteurs Riveneuve présents à la Fête de l’Huma ! Gabriel Garran dédicace Ce que j’ai a dire (nouveauté) et Filiation Thierry de Carbonnieres dédicace Brèves de métro, Ils me reconnaissent et Saluts et applaudissements Rendez-vous au village du livre,...