La liberté de la presse concerne tout le monde sur cette planète et plus directement certains des auteurs de Riveneuve, journalistes-écrivains racontant le monde tel qu’il tourne rond ou pas. C’est d’ailleurs tout le propos de la collection “Jours tranquilles à…” qui chronique ce qui se passe dans des villes en guerre, en crise ou sous occupation. C’est aussi le propos de certains auteurs de Riveneuve qui commentent le rapport annuel de l’ONG européenne Reporters sans frontières (dont le président, Pierre Haski, est un préfacier apprécié chez Riveneuve) publié chaque année en ce 3 mai symbolique. Ainsi, Hatem Nafti, auteur de De la révolution à la restauration, où va la Tunisie ? analyse le chapitre sur la situation dans son pays où l’installation d’un pouvoir populiste autoritaire fait chuter la Tunisie dans le classement. On y retrouve aussi un autre auteur de Riveneuve, Mathieu Galtier, co-auteur de Jours tranquilles à Tripoli, qui a été victime d’une répression policière dans les rues de Tunis cette année. Les journalistes sont les chiens de garde de la démocratie comme les écrivains sont les chats sauvages de la civilisation… Rien de moins !

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